Nouveautés

Chers visiteurs, il y a enfin du nouveau sur mon site Jimdo!

Les rubriques Avertissement et Nouveautés, bien sûr, ont été mises à jour, le

Blog s'est enrichi d'une nouvelle page et apparaît la rubrique "Mémoires d'un nomade" qui comme son titre l'indique, a la prétention d'être le récir d'une histoire, la mienne !

Septembre 2014 à Moncio (Lot) chez nos amis Sylvie et Fabrice
Septembre 2014 à Moncio (Lot) chez nos amis Sylvie et Fabrice

           

Avertissement...

 

    La "reconstruction" entreprise puis entrecoupée d'abandons depuis 2011, n'en finit plus... mais après une trop longue interruption pour autant de bonnes que de mauvaises raisons... elle va pouvoir reprendre car il s'avère que les événements familiaux survenus depuis... maintenant plus de 7 ans... et oui... nécessitent plus que jamais de poursuivre la mise à jour de toutes les parties de ce site personnel.

    Pour personnel qu'il soit en effet, il a quand même pour objectif d'être public et dirigé prioritairement vers ceux qui me connaissent ou m'ont connu et pour leur permettre de savoir en permanence ce qui se passe dans mon existence et celle de mes proches et amis quand ils y participent.

       Durant toutes ces dernières années écoulées, je n'ai pas eu le courage, l'envie, malgré le besoin évident, de m'épancher, car j'avoue que la disparition brutale de ma "jeune" soeur, le 12 mai 2012, alors que nous étions mon épouse et moi en voyage en Italie et que nous séjournions chez nos très bons amis de Turin, m'a littéralement projeté dans un univers jusque là inconnu : celui de l'incompréhension d'une réalité, l'imprévisibilité des accidents de la vie.

      Pour le journaliste que je fus, c'est d'autant plus incompréhensible que cela a été mon quotidien pendant plus de 20 ans: relater l'imprévisible qui fait l'essentiel de l'information immédiate.

      Mais il en est ainsi que la succession permanente et l'accumulation des événements dont vous devez rendre compte au jour le jour finissent par vous faire croire que vous êtes devenu insensible... Foutaise, car c'est exactement le contraire qui se produit. A force de vous croire blindé contre ce genre de chose, vous n'en êtes que moins préparé à le vivre et à l'encaisser.

      Autant, malgré là encore la soudaineté, le décès de mon père était prévisible, en raison de son âge et de sa santé fragile, au printemps 2000 et celui de ma mère qui vient de survenir en cette fin novembre 2018, six jours après avoir fêté son 98ème anniversaire, m'auront paru dans l'ordre des choses, autant celui d'Yvette, à tout juste 60 ans, sans aucun signe avant coureur, n'est toujours pas pour moi une chose juste. Je sais que cela peut paraître surprenant, écrit comme cela de ma part, mais ma soeur ne méritait pas de disparaître si tôt. Elle aurait mérité de connaître de longues années de joie de vivre entourée de ses enfants et petits-enfants auxquels elle consacrait tout son temps et toute son énergie, négligeant peut-être un peu sa vie personnelle... et sa santé... ce que je crois avoir compris depuis.

    Et si aujourd'hui, je reprends le clavier et l'écriture, c'est en grande partie parce que je sais trop que les souvenirs disparaissent avec ceux qui les détenaient et qu'en laisser une trace peut parfois être utile à ceux qui restent.

    Les rares confidences recueillies auprès de ma mère sur les épisodes pour le moins difficiles de sa longue existence m'invitent aujourd'hui à laisser moi aussi quelques traces de ce que je sais de l'histoire familiale et dont j'ai recueilli les images dans les vieux albums de famille retrouvés dans les armoires ces dernières semaines.

 

     Juillet 2023

 

     L'intention que j'exprimais plus haut date maintenant de près de 5 ans et j'ai essayé d'entamer ce pélerinage historique  de nos deux familles mais l'entreprise s'est vite révélée délicate parce que pleine des blancs que n'ont pu remplir les souvenirs des uns et des autres et de l'absence de documents comme parfois savent en laisser nos anciens.

 

      Et donc j'ai abandonné la tâche que je croyais possible et n'en suis resté qu'à un début incomplet, me rendant compte que j'avais mis la barre trop haut. Je garde, pour l'instant, cette amorce de récit en espérant retrouver l'envie de le compléter... tout n'est peut-être pas perdu... et le texte qui suit, datant de mon premier essai, reste "pour mémoire" en espérant qu'il agisse comme le rappel d'un "devoir sacré" toujours pas accompli.

 

       Je le mets donc entre parenthèses et en italique pour le différencier.

 

      

       

 

        (Et c'est la rubrique "La Famille" qui, pour des raisons événementielles, va donc se développer et s'enrichir avec l'apparition d'une "Lettre Ouverte" dont le contenu sera actualisé au fur et à mesure de son écriture par le transfert des nouveaux chapitres stabilisés.

         L'objectif "avouable" (sans besoin de torture ni de pression quelconque...) est d'aboutir, avec le temps ou du moins ce qu'il en reste, à un récit personnel, mais néanmoins fidèle à l'histoire vécue et aux témoignages livrés par des "contributeurs" dignes de foi, de la saga familiale PERROT-HOSTINGUE qui ne pourrait exister sans l'histoire des familles qui ont précédé les actuels protagonistes.

          D'où la démarche d'essayer de reconstituer en préambule les parcours des ascendants depuis la fin du 19ème siècle... et oui, notre histoire remonte... au moins... à cette époque et ne peut être contée et comprise sans ce retour sur un passé pas si lointain dont le récit berça parfois nos jeunes années.

 

Précision : l'accès à la partie "Lettre Ouverte" nécessitera un code d'accès que je tiendrai à la disposition de ceux qui en feront la demande par l'intermédiaire de la Rubrique "Contact". 

 

Rendez-vous pour en savoir plus à la rubrique Nouveautés qui fera le point, daté au fur et à mesure.)

 

 

 

Bienvenue

Voiliers sur la baie d'El Campello
Voiliers sur la baie d'El Campello

  Iber... d'Ibères, ce peuple qui occupait une partie de l'Espagne, dans l'Antiquité
et neo... de néo, du grec neos "nouveau"...

Iberneo ne désigne donc rien d'autre qu'un symbolique "nouvel Espagnol", un Français, et même mieux...

Un Celte ! nouvellement implanté en Espagne.

Ce n'est rien de plus qu'un pratique surnom évocateur d'une situation un peu particulière et privilégiée : celle d'un retraité qui exerça, entre autres, le journalisme pendant 30 ans et qui n'a pas perdu une miette de la curiosité qui fait le fondement même du métier d'informer.

Et qui n'a pas oublié la règle enseignée par un de ses maîtres:

 "Savoir, savoir faire, faire savoir"

 

La vraie richesse d'Internet est là : répondre à la curiosité, satisfaire l'appétit de savoir et permettre ce qui a toujours été ma devise :

"apprendre pour partager".

 

Et quand on a fait le choix de l'expatriation, quelle qu'en soit la raison, on ne cesse d'apprendre et on n'en finit plus de partager... avec ceux qui en ont le goût.

 

La Costa Blanca, lieu de ma nouvelle résidence, a ceci de précieux qu'elle accueille des ressortissants de toute l'Europe mais également de bien d'autres origines géographiques et que cette diversité démultiplie les occasions de contacts enrichissants. 

 

La diversité des échanges, le climat, la Méditerranée mais aussi la montagne proche, la relative douceur de vivre, le goût des Espagnols pour la fête, ce sont tous ces éléments qui font que le choix initial d'y vivre une retraite "dorée" s'est transformé en un attachement à ce lieu et à l'art de vivre qu'il permet de développer.